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Les médicaments humains Poison pour les animaux

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Les médicaments humains Poison pour les animaux Empty Les médicaments humains Poison pour les animaux

Message  Nadicha Sam 7 Jan - 13:49

Les médicaments humains Poison pour les animaux
ATENTION !!!!!!!!!



Il faut rappeler que la pharmacologie des médicaments à usage humain n'est pas fondamentalement différente de celle des médicaments à usage vétérinaire puisque les médicaments retenus pour usage humain ont été testés initialement chez l'animal, notamment le rat et le chien (pensez-y lorsque vous prenez un médoc...), et qu'il y a globalement une bonne concordance entre ce que l'on observe chez l'animal et chez l'homme.
Cependant, des différences existent effectivement, si bien que l'extrapolation pure et simple des données connues chez l'homme n'est pas toujours possible. Elles sont d'ordre soit pharmacocinétique, soit pharmacodynamique. La pharmacocinétique d'un principe actif peut varier considérablement d'une espèce à l'autre. Par exemple, le paracétamol est relativement bien toléré chez le chien, bien qu'il soit peu employé. En revanche, il est très toxique chez le chat, espèce dans laquelle il est métabolisé en dérivés methémoglobinisants. Un comprimé à 500 mg peut ainsi suffire à tuer un chat (on en a déjà parlé, mais ce n'est sans doute pas inutile de le rappeler).

Autre exemple : l'aspirine a une demi-vie plasmatique de l'ordre de 30 minutes chez les bovins, contre plus de 40 heures chez le chat.
Sur le plan pharmacodynamique, des effets différents peuvent être observés pour une même substance, en raison de variations interspécifiques soit dans le tissu cible, soit dans les récepteurs ou les voies de transduction exprimés par ce tissu.
Les bronchodilatateurs, par exemple, n'ont pas la même efficacité chez le chat ou le cobaye, qui possèdent de nombreuses fibres lisses bronchiques, et chez le chien ou la vache, dont l'arborisation bronchique est plus pauvre en fibres lisses.

La corticothérapie au long cours est génératrice de lourds effets indésirables chez le chien, connus sous le nom de syndrome de Cushing iatrogène, tandis qu'elle est beaucoup mieux supportée par le chat ou le cheval. Des agonistes des récepteurs alpha2-adrénergiques, comme la xylazine (non utilisée chez l'homme), sont fortement vomitifs chez le chat, beaucoup plus irrégulièrement chez le chien.

Les Centres AntiPoison Animal répondent gratuitement à tout appel, qu'il provienne d'un particulier ou d'un professionnel de la santé humaine ou animale, concernant une intoxication ou une suspicion d'intoxication chez l'animal. Sa principale mission bien entendu relève de l'aide au diagnostic et du conseil sur la conduite à tenir. Mais il permet aussi de collecter des informations statistiques sur les causes d'intoxication et de mieux communiquer sur leur prévention et sur leur gestion.

Les espèces concernées par les appels sont le chien (55 %), le chat (24 %), les animaux de production (14 %), le cheval (3 %), les " nouveaux animaux de compagnie " (1 %), l'homme (1,5 %), la faune sauvage (1,5 %).

Les toxiques en cause sont les pesticides (41 %), les médicaments vétérinaires (25 %), les médicaments humains (9 %), les polluants et produits ménagers (9%), les plantes (13 %), l'alimentation et divers autres(3 %).
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Voici une liste malheureusement non exhaustive des médicaments prouvés sans danger, selon les tests de toxicités effectués sur animaux (sur différentes espèces et sur plusieurs années), mais se révélant hautement toxiques pour les humains :


- Flosint (arthrite), mortel pour les humains (8 morts), tolérance chez les rats, singes et chiens testés en laboratoire.

-Zelmide (antidépresseur) sévères problèmes neurologiques pour les humains, aucun incident chez les rats et chiens testés en laboratoire.

-Clioquinol (anti-diarrhéique) paralysie et cécité pour les humains, sans danger pour les rats, chiens et lapins testés en laboratoire.

-Eraldin : (cœur) : mortel ou (et) cécité pour les humains, selon les scientifiques : "Aucun fâcheux effet sur les animaux de laboratoires lors des études de toxicité."

-Opren : (arthrite) mortel pour les humains (61), rien à signaler chez les singes et les autres animaux de laboratoire.

-Zomax : (arthrite) mortel chez les humains (14), rien à signaler chez les singes et les autres animaux de laboratoire.

-Nomifensine (antidépresseur) mortel pour les humains (sévère défaillance rénale), aucun incident sur les animaux testés en laboratoire.

- Fialuridine (antiviral) mortel pour les humains (dommage irréversible du foie), sans danger pour les animaux testés en laboratoire.

-Isoprotérénol (asthme) mortel pour les humains (3500 au RU), aucun incident sur les animaux testés en laboratoire.

-Selacrine (diurétique) mortel pour les humains (dommage irréversible du foie), aucun incident sur les animaux testés en laboratoire.

-Domperidone (nausée, vomissements), provoque chez les humains un rythme cardiaque irrégulier. Les scientifiques étaient incapables de reproduire cet effet sur des chiens même avec une dose de 70 fois la normale.

Mitoxantrone (cancer) provoque l’arrêt du cœur chez les humains. Il fut pourtant largement testés sur des chiens, qui n’ont jamais manifesté cet effet.

-Carbenoxalone (ulcères gastriques) provoque l’arrêt du cœur chez les humains. Après que les scientifiques ont su ce qu’il avait fait aux gens, ils ont continué à le tester sur des rats, souris, singes, des lapins, sans jamais pouvoir reproduire le même effet.

- Perhexiline (cœur) provoque une défaillance du foie, sans danger pour les animaux testés en laboratoire. Même quand ils savaient qu’ils cherchaient un type particulier de défaillance du foie, ils ne pouvaient pas le provoquer sur des animaux.

- Surgam (arthrite) provoque des ulcères d’estomac chez les humains, aucun incident chez les animaux testés en laboratoire. Les ulcères sont un effet secondaire commun de beaucoup de médicaments pour soulager d’arthrite. A la mise sur le marché, les scientifiques avaient déclaré que cette fois-ci le médicamentent ne pouvait causer des ulcères, tous les tests (sur animaux) avaient été faits pour s’en prévenir.

- Suprofen (arthrite) provoque une toxicité rénale pour les humains. Avant sa mise sur le marché, les chercheurs avaient commenté les essais du produit sur animaux comme : "... Excellent profil de sécurité. Aucun effet cardiaque, rénal, ou SNC (système nerveux central) rencontré sur les différentes espèces."

- Methysergide (maux de tête) provoque lésions au niveau du cœur et des reins. Les scientifiques ont été incapables de reproduire ces effets sur les animaux.

- Clindamycin (antibiotique) provoque des lésions au niveau de l’intestin. Il a été testé sur des rats et des chiens chaque jour pendant un an. Ils tolérèrent des doses 10 fois plus grandes que celles qui furent prescrites pour les humains.

- Linomide (sclérose en plaques) provoque des crises cardiaques pour les humains, les expériences animales n’avaient pas prédit cela.

-Pemoline (hyperactivité) mortel pour les humains (dommage irréversible du foie), sans danger pour les animaux testés en laboratoire.

- Eldepryl (Parkinson) provoque de l’hypertension pour les humains, cet effet secondaire n’avait pas été vu chez les animaux.

-Rezulin (diabètes) mortel pour les humains (dommage irréversible du foie), sans danger pour les animaux testés en laboratoire.

-Amrinone (cœur) provoque une thrombocitopénie chez les humains, c’est-à-dire un manque de cellules de sang type qui sont nécessaires à la coagulation. Les expériences animales n’avaient pas prédit cela.

-Méthoxyflurane (anesthésique) provoque une toxicité rénale aiguë. Les expériences animales n’ont pas prévu la toxicité du produit sur le système rénal.

Staltor, Ananxyl, Orabilex, Métaqualone, Chloramphénicol, Stilboestrol, Flamanil, Ponderax, Primodos, Aménorone fort, Bendectin, Debendox, Préludine, Maxiton, Nembutal, Pronap, Plaxin, Phénacétine, Amydopyrine, Marzine, Réserpine, Phénindione, Méthotrexate, Uréthane, Mitotane, Cyclophosphamide, Isoniazide, Iproniazide, Kanamycine, Bismuth, Clioquinol, ...

La liste de médicaments passant haut la main les prétendus tests de sécurité et toxicité sur animaux qui provoquèrent paralysie, cancers, cécité, troubles cérébraux, insuffisances rénales, troubles hépatiques, ... Sur des patients humains, s’allongera tant que la vivisection continuera.

Avant la sortie sur le marché d’un nouveau médicament, des études sont conduites, pendant près de 10 ans, sur des dizaines de milliers animaux, de toutes espèces, sous le prétexte fallacieux qu’ils aident la santé humaine et animale (sic !). Si un médicament doit être retiré du marché (nocif aux humains) d’autres animaux de laboratoire sont encore torturés pour "comprendre" pourquoi le médicament incriminé fut toxique à l’espèce humaine.

Lorsqu’un médicament est suspecté nocif, il n’est pas immédiatement retiré du commerce car les laboratoires traînent les pieds en mettant en avant le fait qu’il a été prouvé inoffensif sur les animaux ("tests de sécurité" et "toxicité"). Par exemple, il fallut attendre 18 ans pour retirer le Phenphormin (diabète) alors qu’une estimation de 1000 patients mourraient chaque année d’effets secondaires.

Sans compter, que les médicaments retirés du marché occidental sont souvent toujours disponibles dans les pays du Tiers Monde ou que d’un pays à l’autre, le produit chimique ou molécule change de nom (exemple avec des scandales du Duogynom ou Clioquinol).

Quand ce charlatanisme s’arrêtera-il ? Au lieu de reconnaître une bonne fois pour toutes que le modèle animal n’est pas fiable et dangereux pour la santé humaine, les chercheurs reçoivent encore et toujours plus de subventions pour continuer les expérimentations animales.

La vérité est que la vivisection sert de couverture juridique en cas ou les familles de victimes voudraient assigner les fabricants en justice. Les juges ne condamnent pratiquement jamais les fabricants grâce à ces prétendus "tests de sécurité" conduits sur les animaux.

À propos du scandale du Clioquinol, qui provoqua pour le seul Japon une estimation de 1.000 morts et 30.000 handicapés, le Dr André Passebecq de Vence écrivit : "Les expérimentations sur animaux avaient bien été réalisées, mais que veulent-elles dire ? Comme d’habitude rien ou presque, lorsque les résultats sont transportés au niveau de l’homme."

- Source :

"Sacred cows and golden geese, the human cost of experiments on animals" des Docteurs C.R et J.S Greek.

"Expérimentation animale : honte et échecs de la médecine" d’Hans Ruesch
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